Mimi Mollica, dans Terra Nostra, explore les effets de la mafia dans son île natale. Il donne à voir les blessures infligées par la Cosa nostra dans le paysage naturel et sociétal de l’île, résultant d’un système fortement enraciné dans la peur et la corruption. Pour le photographe, la vie sicilenne est marquée par une écrasante sensation de claustrophobie et un manque de liberté qui semble tout imprégner.


Sean O’Hagan, critique photographique au Guardian et à l’Observer, présente dans un intéressant essai sur le travail de Mimi Mollica.